La pollution atmosphérique représente sans doute l’un des enjeux majeurs à cause de son impact sur notre santé. Dans ce sens, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME) a tenu à faire un rappel des recommandations en cas de pics de pollution.
L’agence a souligné que, pour réduire les émissions et donc l’exposition aux polluants, chacun peut apporter sa contribution à son échelle.
Entre autres, les particuliers sont sollicités à opter pour les modes de déplacement moins polluants (transports en commun, vélo, etc.). Lors d’un pic de pollution à l’ozone, il faut éviter autant que possible l’utilisation des peintures, colles ou solvants susceptibles d’émettre des particules fines volatiles. Par ailleurs, il est recommandé de limiter les activités physiques ou sportives intenses.
Les entreprises peuvent aussi apporter leur contribution en mettant en place des solutions permettant de limiter les besoins de déplacement de leurs salariés (télétravail, covoiturage, etc.).
Quant aux collectivités, elles ont déjà mis en place un certificat appelé Crit’Air, à coller sur les motos, autobus, camions, etc. Cela permet d’identifier les véhicules motorisés les plus polluants et de restreindre leur circulation en cas de pic de pollution.
Enfin, dans le secteur de l’agriculture, certaines mesures peuvent être adoptées comme la pratique des activités d’épandage, l’arrêt du brûlage des sous-produits agricoles à l’air libre, l’enfouissement des effluents, etc.